C’est ce qu’on aime chez Rick Mayall. Il n’a peur de rien. Il joue avec son complice, Edmonson. Il repousse la provocation à son extrême avec le salace Bottom, série au-delà du réel, sur les délires de deux chômeurs libidineux.
Mon disparu de l’été

C’est ce qu’on aime chez Rick Mayall. Il n’a peur de rien. Il joue avec son complice, Edmonson. Il repousse la provocation à son extrême avec le salace Bottom, série au-delà du réel, sur les délires de deux chômeurs libidineux.
Après Salut les copains et Disco, Love Circus : la nouvelle comédie musicale de Stéphane Jarny s’apprête à enflammer les Folies …
Les riffs ardents, la voix qui couine, des rythmes barricadés, tout y est pour nous faire revivre quelques moments mélomanes de l’adolescence. C’est très marrant mais surtout aucun cynisme ne transpire de ce World on Fire. Slash fatigue ses six cordes avec la même passion, le même élan: il poursuit sa quête du riff immortel, dépassant les modes et le temps.
On est dans l’époque des Zazous et de la reconstruction. Le dessin est enlevé nous faisant ressentir ce moment important de l’histoire. Les décors ne manquent pas de charme. Les auteurs regardent dans le rétroviseur de la bande dessinée et trouve un style désuet pour emmener notre jeune héros sur les traces d’une mystérieuse femme léopard…