C’est indigeste mais comme il y a un acteur cool, pas de souci, on veut bien voyager même si on ne comprend pas tout ! Ce n’est pas grave : Nolan a quand même le sens du spectacle et sa vision des galaxies et des cinq dimensions (rien que ça) ont le mérite de dépayser grandement.
The Phosphorescent Harvest
On pense évidemment au Grateful Dead car Robinson partage ce goût pour les rythmes qui s’étirent mais qui conservent leur influence rock. C’est un joyeux foutoir où l’on devine sur chaque solo, un plaisir partagé.
No hit wonder
Il invite dans son disque des songwriters qui eux aussi ne veulent pas se limiter aux clichés du genre : Tim Easton, Jason Isbell ou Caitlin Rose. Le gratin vient soutenir l’effort du chanteur, son quatrième disque en 12 ans.
Magic in the moonlight
Pour les amateurs, ne vous inquiétez pas : Woody Allen continue de s’interroger et de se mettre en scène par le biais ici d’un Colin Firth irrésistible en spécialiste du canular, sûr de lui et peu aimable. Il est tout simplement génial. Ce qui change c’est le plaisir visible du metteur en scène. Chaque année, il sort un film mais sur celui-ci, il semble s’amuser avec des comédiens investis.