En Australie, les brutes ont du coeur et les costauds ne se prennent pas tous pour ACDC. Les frères Pierce jouent avec passion et cela s’entend… ca fait un bien fou!
The records were ours

En Australie, les brutes ont du coeur et les costauds ne se prennent pas tous pour ACDC. Les frères Pierce jouent avec passion et cela s’entend… ca fait un bien fou!
Malgré la gravité de leurs mots, le lien entre ces deux-là ne se rompt jamais, et l’attention entre elles et nous se maintient sans faille pendant 1h30.
« Je voudrais seulement comprendre, comment il se peut que tant d’Hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations supportent parfois un tyran seul. Un tyran seul qui n’a comme puissance que celle, que ces gens, lui donnent. »
La grande loufoquerie des frangins, leur accomplissement visuel et leurs profondeurs un peu dépréssives résistent au changement de support. Et à l’exercice de style si difficile. On a cru au début à une mini série puis Ethan et Joel sont revenus à un format qu’ils connaissent. Le film est une succession de sketchs, avec les défauts et les qualités que l’on sait.