Wes Anderson évoque ici l’Histoire, de manière décalée mais amène un peu son art vintage dans une réalité, même si la fantaisie est omniprésente. Et brillante!
The Grand Budapest Hotel

Wes Anderson évoque ici l’Histoire, de manière décalée mais amène un peu son art vintage dans une réalité, même si la fantaisie est omniprésente. Et brillante!
La liberté est le concept de base de l’oeuvre de Dupieux. Il cherche depuis ses débuts à se libérer de toute contrainte narrative ou visuelle. Et pour s’affranchir des lois du milieu du cinéma, il fait quasiment tout lui-même.
Une succession de batailles navales avec des énervés en jupettes et des vilains vraiment pas beaux qui veulent casser du « pédéraste musculeux » (c’est dans le film mot pour mot). C’est donc la même chose que 300 en moins bien, avec de l’eau tout autour.
L’édition 2009 du festival Vidéodanse, débutée au Centre Pompidou ce 21 octobre, donne la possibilité de revoir une œuvre de …