Évidemment, si Viggo Mortensen brille de mille feux, on salue avec l’enthousiasme Kirsten Dunst et Oscar Isaac. Tout trois se montrent impeccables dans ce jeu de dupes où la passion l’emporte parfois sur les faux-semblants.
The two faces of January

Évidemment, si Viggo Mortensen brille de mille feux, on salue avec l’enthousiasme Kirsten Dunst et Oscar Isaac. Tout trois se montrent impeccables dans ce jeu de dupes où la passion l’emporte parfois sur les faux-semblants.
Si le film est assez captivant, il est lent, incroyablement lent à tel point qu’on en vient parfois à se perdre un peu et à se questionner quant aux intentions de l’auteur. En fait, il faut du temps pour encaisser ce film dont le rythme assumé est en fin de compte légitimé.
Si les ressorts narratifs sont particulièrement bien gérés, leur effet positif sur le long-métrage est amoindri par une marée de mauvais effets visuels bon marché.
es personnages qui évoluent presque tout le temps seuls ou à deux, dans des grandes maisons filmées comme trop petites pour leurs égos en mal de reconnaissance.