L’avarice n’est que le symptôme d’une maladie plus grave. Si cette maladie c’est la vieillesse, on sait déjà que nul ne pourra lui échapper.
L’Avare, Molière, Daniel Benoin, Michel Boujenah, Variétés

L’avarice n’est que le symptôme d’une maladie plus grave. Si cette maladie c’est la vieillesse, on sait déjà que nul ne pourra lui échapper.
On est tous fous d’Harvey !
Délicieusement libéré ! Une mise en scène physique proposée par Christophe Béranger et Jonathan Pranlas-Descours pour illustrer la souffrance et la libération des corps.
Le texte agit comme un rappel au bon sens. Pacificateur, il démontre que ce qui nous rassemble est résolument plus fort que ce qui nous divise et que l’unité est toujours possible lorsque le politique a le courage d’engager un travail de fond, aussi difficile soit-il. En somme, un message rassurant porté vers l’espoir du lendemain qui se déjoue des peurs. Et en ce moment, que cela fait du bien !…