Parmi mes cauchemars d’enfants, je revois les angoisses morbides de l’Emprise des ténèbres, l’aspect pop eighties de Shocker ou les enfants du Sous sol de la Peur. Avec les Scream, j’ai compris la perversité du cinéma, le plaisir d’un spectacle sanglant et l’importance du second degré, dans les films et surtout la vie!
Les cauchemars de Wes Craven
