C’est déconcertant de faire de la pop de cette manière. Mais les pointes d’electro n’empêchent d’entendre une inaltérable pop, un peu eighties, autre époque où l’on avait toutes les raisons de faire la tronche.
European Soul


C’est déconcertant de faire de la pop de cette manière. Mais les pointes d’electro n’empêchent d’entendre une inaltérable pop, un peu eighties, autre époque où l’on avait toutes les raisons de faire la tronche.

Elle veut donc confirmer tout le bien que l’on pensait d’elle mais hélas, son second disque est un peu paresseux. On retrouve tout le charme discret de la jeune femme de 26 ans. Mais la production est un peu trop contemporaine, ne surprend jamais, et appuie un peu sur les effets stylés. Vous risquez de l’entendre dans les grands magasins.

Patton le voyageur s’essaie même à l’intimiste avec Scalinatella, joli chant tout en écho accompagné d’une guitare ronde et caressante. Autrement c’est le carnaval de Venise enregistré du coté de la Toscane. Patton porte des masques différents à chaque titre. Il prend beaucoup de plaisir et l’orchestre tente de suivre la douce folie transalpine

Pour les vacances, on visite le Monde en musique avec quelques disques à mettre dans les bagages. Aujourd’hui l’Inde. Les premiers titres sont totalement maîtrisés par Le Tone. Il se permet des bidouillages assez audacieux. Ce n’est plus un son froid mais une vraie réunions de musiciens où l’on retrouve l’indispensable Albin de la Simone.