Pulp

On finit par se demander s’ils ne sont pas avant gardistes avec des morceaux aussi limpides, d’inspiration sixties. On fredonne facilement et les harmonies vocales sont plus hardies qu’aux premières écoutes. C’est du bel ouvrage, bien travaillé à défaut d’être spectaculaire

Three Imaginary Boys

Réunis sur un premier album intitulé « Three imaginary boys » paru la même année, tous ces titres (à l’exception notable de Killing an arab) nous permettent de revenir à la source d’un groupe qui, depuis, a fait le chemin que l’on sait, passant par des périodes obscures avant de réapparaître en pleine lumière avec « Bloodflowers ».

In Dream

Ce cinquième album démarre une fois encore sur une nappe de synthétiseurs qui sent bon l’ennui. Mais Tom Smith semble avoir retrouvé la Foi: sa voix est plus ample et retrouve l’emphase des premiers disques. Bonne nouvelle. On excuse ainsi les effets lectro-pop-gothic toujours présents et trop stéréotypés.