Stanislas Nordey met en scène un poème érotique de Christophe Pellet. Brutale mise en scène d’une relation ambiguë d’un couple à géométrie variable.
Erich Von Stroheim, Christophe Pellet, Stanislas Nordey, Rond Point

Stanislas Nordey met en scène un poème érotique de Christophe Pellet. Brutale mise en scène d’une relation ambiguë d’un couple à géométrie variable.
Ils se donnent sur scène avec fougue. Tels des bouquetins, ils se battent, se rencontrent, s’accordent Les moments de tension alternent avec les moments d’accalmie où l’on boit le thé. Et vraie valeur ajoutée : le rire !
On repense à l’histoire du malentendu d’Albert Camus où Jan renoue le lien avec la terre natale de sa mère, le Liban, qu’elle a quittée des années auparavant en retournant dans son village natal et plus précisément dans une auberge tenue par un couple et sa fille.
Pour la 3ème fois, j’ai la chance d’écouter Jean-Quentin Châtelain dans l’art du monologue.