C’est déroutant. Parfois choquant mais on se passionne pour ses croquis comme pour ses fresques (dé)culottés et colorés. On plonge dans un désordre organisé et parfaitement illustré. Les étrangetés sont des interrogations que l’on aime creuser. La cohérence dans l’illogisme devient un spectacle.
Henry Darger: Derniers Jours
