Après un après-midi de sieste de lendemain de fête, la joie dissimulée ou pas d’un repas à rallonge chez mamie, d’un cocooning au coin du feu, d’un vagabondage dans les rues urbaines désertes ou les pieds mouillés d’une forêt de province, voilà qu’à 18h, tout bascule.