Ready for the flood

Privées d’électricité, les chansons n’en restent pas moins très Jayhawks, peut-être un peu plus matures, un peu plus indolentes aussi. Ca s’emballe rarement, sauf sur le bluesy « Chamberlain, SD, » et les arrangements restent confinés au strict minimum : guitares sèches et parfois un orgue, une mandoline ou une slide guitar pour meubler le tout, une austérité qui, j’espère, ne découragera pas les néophytes.