Les refrains se retiennent aisément. Les rythmes binaires se redécouvrent. Le groupe apportent quand il faut des pointes de funk et de folk. C’est classique mais cela bouillonne malgré tout de créativité et surtout d’envie. Le rock de St Etienne fait très bonne impression
Part three
Mais nous ne sommes pas au solfège ici. Pour leur troisième album, Whodunit sont sauvages et toujours aussi énergiques. C’est du rock de copains. Ils transpirent ensemble et on devine que ca les tenterait bien de mourir ensemble sur scène.
Is the is are
En étant différent, Zachary Cole Smith colle pourtant bien aux étiquettes de l’âme damnée du rock, du petit paumé qui s’exorcise en suant sur scène, sur des sons vaporeux et une guitare cristalline. Bizarrement, après écoute, tout ceci sonne un peu creux.
Happy Machine
Ils chantent en anglais avec un accent incroyable. Surtout ils se moquent des frontières pour incorporer tous les styles. Reggae, dub, rock, tout se mélange à une joyeuse cadence avec des invités très engagés comme Manu Chao. Ce sont des pirates de la musique et il y a du beau monde à bord de leur navire enivré !