Van der Vlugt réussit à nous garder en haleine, grâce à l’attachement que l’on éprouve pour chacun de ses personnages.
La Fabrique, Simone Van der Vlugt, 10/18

Van der Vlugt réussit à nous garder en haleine, grâce à l’attachement que l’on éprouve pour chacun de ses personnages.
Voilà une belle découverte !
« Le monde est plein de sources d’anxiété, se dit Lucy : l’environnement qui se dégrade, le réchauffement climatique, et en plus elle n’a plus rien à se mettre. »
Au fond, peu importe qu’elle ait été sa prisonnière pendant cinq heures (la durée du kidnapping) ou deux ans et demi (la durée de leur relation).