Une belle touche de jazz est ajoutée sur des morceaux qui continuent de diluer un doux spleen, extrêmement mélodique et d’une subtilité toujours aussi rare. Face à des textes autour de l’amour et de sa perte, la musique est formidablement protéiforme.
Splendeurs et misères. Images de la prostitution de 1850 à 1910 », musée d’Orsay
« Splendeurs et misères » : le titre est tiré du roman de Balzac Splendeurs et misères des courtisanes, publié entre 1838 …
Photo Non Contractuelle
Même lorsqu’il s’éloigne d’eux, il continue de se marrer avec les Rois de la Suède. Avec le batteur de ce groupe, il fonde désormais Deux, un duo (logique imparable) qui a bien décidé de dire des conneries dans une joyeuse décontraction. Ivan et son complice ne prennent rien au sérieux. Tant mieux.
L’homme Irrationnel
L’air est connu mais le cynisme est un art que seul Woody Allen sait travailler avec intelligence et jubilation. La mécanique du meurtre se mélange parfaitement avec les idées plus ou moins désenchantées du cinéaste. Il continue de défendre son cinéma vraiment indépendant, presque perturbant.