Faada Freddy

On venait de loin ce soir là pour le voir. Du Sud de la France, d’Espagne et même du Sénégal, le public black and white réuni est tout sourire de voir l’artiste et sa team. Vêtu de son gilet et son chapeau, le voilà, sur la scène du Trianon, un peu intimidé de le voir au grand complet. Avec beaucoup d’élégance, de grâce dans ses mouvements, sans parler de son énergie communicative, il emporte dans un univers melting pot.

Lost in the Dream

Puisque Adam Granduciel chante avec intensité! Il ne triche pas. La musique est son échappatoire. Le type est hanté. Les paroles s’engouffrent dans la moindre souffrance. Mais il y a un lumineux décalage avec la musique, dense et profitant des meilleurs artifices des années 80, entre Joy Division et des références plus américaines comme Lloyd Cole ou Springsteen.

Mira

Les harmonies vocales sont toujours aussi respectables. Les rythmes nous entraînent facilement sur un dance floor où l’on voudrait être John Travolta dans La fièvre du samedi Soir ou Staying Alive. C’est un disque qui pourrait vous accompagner dans vos vacances au soleil.