Pierre Charras tente et réussit un grand écart audacieux. Grâce à une écriture simple et précise, sans grandiloquence mais avec conviction, il nous fait pénétrer les petites vies des passagers d’un wagon de RER qui sera bientôt l’épicentre d’un drame humain.
Jeanne l’Etang, de Perrine Le Querrec
Jeanne l’Etang se dévore comme un journal intime, brut mais d’une douceur poétique.
Le Plancher, Perrine Le Querrec
« Alexandre, Joséphine, Paule, Simone et Jeannot : il y avait une histoire où les parents étaient heureux et Paule, Simone et …
Dîtes-leur que je suis un homme, d’Ernest J. Gaines
Dans la Lousiane des années 40, un braquage minable d’une épicerie tourne mal : quelques morts et un gamin qui se …