Le dessin de François Boucq tout en étant aussi nerveux et inventif s’est stylisé avec les années. Cela ne gache rien, on reconnait son trait, c’est toujours aussi beau, chaque case est une histoire à elle seule.
Little tulip
![](https://www.etat-critique.com/wp-content/uploads/2014/11/Little_tulip-600x400.jpg)
Le dessin de François Boucq tout en étant aussi nerveux et inventif s’est stylisé avec les années. Cela ne gache rien, on reconnait son trait, c’est toujours aussi beau, chaque case est une histoire à elle seule.
Une fois passées les premières pages, ce roman se laisse lire avec plaisir. On y parle d’amitié, d’amour, de profs, de parents, de victoires, d’erreurs… de la vie à douze ans quoi !
Irène Cohen-Janca propose là un roman très sensible et plein d’à propos. L’hôpital, la maladie, ce qui y est dit, ce qui est sous entendu, ce qui est compris, ce qui est interprété, l’avenir, le quotidien, l’imaginaire, les rêves des grands et des petits sont autant de thèmes abordés, sans jamais donner aucune leçon, sans voyeurisme.
Si lire est l’un des grands plaisirs de l’existence, découvrir de beaux livres nous entraine toujours dans des moments de …