Si la mise en scène des crimes hallucinés d’un serial-killer n’est pas nouvelle, la narration d’Antoine Bello est intéressante par son choix de ne justement rien raconter directement. Comme dans un puzzle, le lecteur ne progresse dans la compréhension de l’énigme que par la lecture des 48 pièces qui la constituent.
Eloge de la Pièce Manquante
