La Rage au Ventre

Effectivement, l’absence d’élégance dans la réalisation de Fuqua va très bien au monde de la boxe, qui ne fait pas vraiment dans la dentelle, entre gros sons, look de bad boys et virilité de cour de récréation. Tout un programme. Ce n’est pas classe. Ce n’est pas fin. Mais ca fonctionne.

Deephan

Jamais misérabiliste, le scénario décrit une cité qui va craquer avec des poncifs déjà bien utilisés (les gangs, le deal, la misère) et c’est là où l’on s’ennuie. Comme si le constat social ne servait qu’un scénario qui file tout droit vers une dernière partie bien balisée et spectaculaire.