Larmoyant, le film n’est pas sentimentaliste (c’est une oeuvre allemande tout de même). Formellement l’académisme et le Scope (youhou, c’est la fête) proposent tout de même une vision de vrai cinoche, populaire et fort. L’air de rien, le film vous retourne, vous questionne, vous cherche des poux dans la tête.
Le Labyrinthe du silence
