le spectateur ne se reconnait ni dans Rostam ni dans Esfandiar, ni dans la violence de leurs combats ni dans leurs tentatives de conciliation. Le silence qui règne dans la salle pendant le spectacle est autant dû à l’absence d’interactivité qu’à ce peu d’engouement et d’empathie.
Perdues dans Stocklhom
Pas de syndrome de Stockholm en ce qui me concerne
Journal d’un corps – Daniel Pennac – Théâtre du Rond-Point
Quand Pennac cultive l’art du naïf Un plateau. Une table de lecture recouverte de gazon. Dessus un bonsaï. Comme pour …
Tatoueurs, Tatoués – Musée du Quai Branly
Un Français sur 10 tatoué ! Le nombre impressionne. De quoi largement s’interroger sur le retour contemporain de cette iconographie du …