Ils se donnent sur scène avec fougue. Tels des bouquetins, ils se battent, se rencontrent, s’accordent Les moments de tension alternent avec les moments d’accalmie où l’on boit le thé. Et vraie valeur ajoutée : le rire !
Paratonnerres, Didier Girauldon, Marc-Antoine Cyr, Tarmac
On repense à l’histoire du malentendu d’Albert Camus où Jan renoue le lien avec la terre natale de sa mère, le Liban, qu’elle a quittée des années auparavant en retournant dans son village natal et plus précisément dans une auberge tenue par un couple et sa fille.
Et les mistrals gagnants
A travers ces cinq enfants, Anne Dauphine Julliand ne met pas en avant sa propre histoire qui nous a bouleversés dans Deux petits pas sur le sable mouillé mais ce qu’elle a retenu de leçon de vie de sa fille. La sagesse, la force de caractère qu’elle lui a transmise, comme la conscience que la santé est bel et bien une chance.
Les primaires des primates, Théâtre des deux ânes
La salle éclate de rire. Même les blagues misogynes font rire. Tout y passe : les impôts, Stéphane Plazza, les vies publiques et privées des ministres, leurs traits animaliers, leurs boulettes, l’alternance. Il y a tellement de quoi rire, il faut dire. Tant la surmédiatisation des hommes et femmes à la tête de l’Etat nous sert des gaffes et absurdes sur un plateau au quotidien.