Tandis que dans ce conte moderne, l’amour et la mort s’entremêlent, les scènes s’enchaînent sans répit. La mise en scène est habile et virevoltante, comme souvent chez Michalik.
Une histoire d’amour, Alexis Michalik, la Scala

Tandis que dans ce conte moderne, l’amour et la mort s’entremêlent, les scènes s’enchaînent sans répit. La mise en scène est habile et virevoltante, comme souvent chez Michalik.
Un passé ou une scène nous est contée, et là soudainement elle prend vie, on glisse sans peine du récit au présent, de l’imagination au réel. Je partage complètement cette fascination (est-ce seulement la mienne ?) pour ce mince interstice entre le réel et l’imaginaire.
Une comédie (pour 6 robots et une comédienne) à partir de 6 ans. A voir en famille tout l’été au Funambule.
Ceci n’est pas une comédie musicale et Solal ne chante pas. Ceci est un seul en scène, où l’enfance tient le premier rôle et Michel Berger, le second.