Fouad Laroui fut lui même ingénieur. Il a peut être connu un « Burn Out » similaire. Il a trouvé aussi la solution dans les mots et la lecture. L’idée est bonne. A une époque où la décroissance fait recette, les conséquences d’un tel choix ne manquent pas de piquant.
Les tribulations du dernier Sijilmassi
