Les fantomes d’Ismael

Il y a bien Mathieu Amalric, point de repère et reflet essentiel du cinéma de Desplechin. Il y a bien Charlotte Gainsbourg qui fait du Charlotte Gainsbourg. Marion Cotillard fait aussi du Marion Cotillard. Ca tourne finalement un peu à vide ce trio amoureux, qui devrait nous projeter dans un espèce de patchwork métaphysique. Desplechin serait il fatigué?