Les paroles sont un poil névrosées. La pochette souligne l’ambiance un peu « clown triste » de l’ensemble mais l’énergie du désespoir reste de l’énergie. Il la maîtrise parfaitement. VioleTT Pi ne calcule pas: il se livre dans sa douce folie.
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Les paroles sont un poil névrosées. La pochette souligne l’ambiance un peu « clown triste » de l’ensemble mais l’énergie du désespoir reste de l’énergie. Il la maîtrise parfaitement. VioleTT Pi ne calcule pas: il se livre dans sa douce folie.
Après le puissant El Camino, Turn Blue déçoit un peu malgré ses solides artisans. Le duo n’y met pas de mauvaise volonté. On les sent heureux de tenter de nouveaux trucs mais c’est un peu monochrome pour paraphraser le titre de l’album.
Pas de frontière chez ces copains de lycée devenus les défenseurs d’un style particulier, lancinant et chaud. Pas mal pour des Anglais. Ils réchauffent l’atmosphère avec des rythmes lourds, une voix androgyne et des glissades sonores proches du psychédélisme.
L’homme d’affaires Jimmy Page a fouillé dans ses archives. Il a trouvé des choses passionnantes qui font un bien fou et rappellent notre folle jeunesse!