Racine, racines

Bien sur, tout ça c’est, en partie, de la blague. François Boulay cherche avant tout à nous amuser. La vie de Racine est le prétexte d’une farce à base d’érotisme et de grand guignol, une comédie saupoudrée d’Histoire où le dramaturge s’exprime comme un personnage de série noire.

En effeuillant Baudelaire

Prendre un comptable, par exemple, l’attirer dans les venelles du crime et observer sa réaction. Je voulais mesurer comment auraient résisté, à cette mise en cause de leur sécurité et de leur stabilité, les plus « passe muraille » de nos concitoyens. En ajoutant Baudelaire aux mailles du filet, on faisait pencher le plateau de la balance… il n’existe guère d’animaux plus dangereux qu’un anglais déstabilisé. »