Petits chefs d’oeuvre anglais un peu trop discrets : voilà notre thématique de l’été. Première chronique avec la bande de Ray Davies que l’on oublie trop souvent dans l’histoire de la pop anglaise!
eV
Les paroles sont un poil névrosées. La pochette souligne l’ambiance un peu « clown triste » de l’ensemble mais l’énergie du désespoir reste de l’énergie. Il la maîtrise parfaitement. VioleTT Pi ne calcule pas: il se livre dans sa douce folie.
Run
Donc ses chansons sont marquées par des galops rythmiques venus du folk traditionnels mais il superpose quelques machines avec une voix qui vole haut. C’est inhabituel : on est happé dans son univers bricolé.
Chaleur Humaine
C’est un très beau disque, avec des bizarreries qui pourraient être à Bjork et d’autres choses plus lyriques qui appartiendraient à Emilie Loizeau ou Camille. Pas mal les références, nan?