Dans le café de la jeunesse

Alors, un Modiano comme les autres ? Pas tout à fait. Le trait y est sensiblement plus appuyé que dans tous ses romans antérieurs, et il finit par être trop appuyé. D’où l’impression de pastiche évoquée plus haut. C’est comme si, là où naguère il aurait cité deux ou trois noms de lieu, il en citait dix pour bien enfoncer le clou. Veut-il nous prouver que sa reconstitution historique tient la route ?