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Car le film s’acharne sur l’american way of life et sur la morne existence qui en découle. Les rapports simples, humains, stéréotypés, se détériorent et virent au cauchemar ou au fantasme paranoïaque. Avec peu de moyens et des bons comédiens (dont le mésestimé Michael Kelly, éternel second ou troisième roôle à Hollywood), le duo de réalisateurs fait du bon boulot.

The Wall

Les options et les choix deviennent des moments cruciaux. Le suspense est aussi élevé que le thermomètre. En quelques scènes, Doug Liman met en pièce le film de guerre pour en faire sortir toute l’absurdité et le pathétique. L’héroisme n’existe pas. On est à l’opposé de l’American Sniper, le très surestimé film de Clint Eastwood.