Quelques cinq cent pages d’amour et de poésie, de celles dont sont capables les romancier.e.s moyen-orientaux.
Soufi, mon amour, Elif Shafak, 10/18

Quelques cinq cent pages d’amour et de poésie, de celles dont sont capables les romancier.e.s moyen-orientaux.
C’est normalement le paysage des polars et des séries B qui manquent un peu d’imagination : un parking de zone d’activités, …
On comprend pourquoi l’auteur est adulé dans son pays !
Johnson ira de toute façon à l’essentiel. Son livre est d’un minimalisme qui finit par nous cogner très fort. C’est une littérature qui percute. Comme dans une rivière sauvage. Le lieu où va commencer le drame d’un homme qui perd son fils dans une dense nature. Il court vers l’inconnu pour retrouver sa descendance, mordu par une bestiole aquatique…