Au-delà de l’enquête policière elle-même, assez bien ficelée, c’est le quotidien des personnages à l’aube du dix-huitième siècle qui retient véritablement l’attention.
1803, La nuit de la sage-femme, Anne Villemin-Sicherman, 10/18
![](https://www.etat-critique.com/wp-content/uploads/2023/02/1803-La-nuit-de-la-sage-femme-Une-enquete-de-Victoire-Montfort-600x400.jpg)
Au-delà de l’enquête policière elle-même, assez bien ficelée, c’est le quotidien des personnages à l’aube du dix-huitième siècle qui retient véritablement l’attention.
Étrange, grinçant, amusant et cinglant, mais aussi dérangeant.
Quelques cinq cent pages d’amour et de poésie, de celles dont sont capables les romancier.e.s moyen-orientaux.
Toujours sur le fil du rasoir de la réalité, l’auteur nous embarque dans d’invraisemblables histoires, tantôt plausibles, d’autres fois abracadabrantes.