Voilà du rarement lu. Une écriture violente, scindée, brillante, et surtout, nouvelle.
Affamée, Raven Leilani, traduction Nathalie Bru, 10/18
![](https://www.etat-critique.com/wp-content/uploads/2022/02/affamee-600x400.jpg)
Voilà du rarement lu. Une écriture violente, scindée, brillante, et surtout, nouvelle.
Une fresque phénoménale, sur quatre tomes.
Un cadavre sur un périphérique, la nuit, la pluie, un flic désabusé qui en a vu d’autres.
Van der Vlugt réussit à nous garder en haleine, grâce à l’attachement que l’on éprouve pour chacun de ses personnages.