Le dessin et surtout les couleurs pastel du tome 4 rendent cette atmosphère apaisée. Quelque chose qui ressemblerait à une chanson de Brassens. Le fond y est, la forme reste tranquille. C’est un peu la marque de fabrique de Gibrat que ce soit dans les aventures de Goudard où il décrivait le passage de l’adolescence à l’âge adulte ou dans ses récits sur l’Occupation que ce soit « Le corbeau » ou dans « Le sursis ».
Les Gens Honnêtes T.4




