Dans nos bagages on met un disque réchauffé de Sigur Ros. Comme d’habitude, c’est planant et propice à la rêverie. Mais elle paraît ici plus concrète. Les morceaux semblent plus carrés. Peu de grandes plages de musiques épiques. A peine deux chansons atteignent péniblement les neuf minutes !
Meo suo i eyrum vio spilum endalaust



