- Art-scène
- Cinéma
- Livres
- Musique
- Vu à la télé
La dégustation, Yvan Calbérac, Isabelle Carré, Bernard Campan, Renaissance
Le vin ce n’est pas de l’alcool !
Samo, a tribute to Basquiat, Laëtitia Guédon, Koffi Kwahulé, Théâtre de la Tempête
La vie de l’artiste de génie au succès fulgurant : Basquiat entre musique et couleurs.
Songs, Samuel Achache, Bouffes du Nord
Malgré son extravagance et son humour, Songs laisse un sentiment confus
Kanata, Robert Lepage, Théâtre du Soleil
Armé uniquement de son ambition, Robert Lepage propose un voyage initiatique à travers l’histoire du Canada et on le suit, en pirogue même parfois
La Magie lente, Denis Lachaud, Benoit Giros, Pierre Notte, Théâtre de la Reine Blanche
Mais si Louvier n’est pas schizophrène, alors qu’il se définit comme tel depuis 10 ans: qui est-il? C’est cette énigme que la relation de soin va chercher à éclaircir. C’est une révélation et une mue qu’on accompagne.
Alphonse Mucha – Musée du Luxembourg – Paris
Mucha ou la quête d’universalisme Mucha est un universaliste. Convaincu...
Miranda Mirianashvili, Gypsy melodies
Pour la première d’une tournée européenne, la chanteuse était au théâtre Athénée-Jouvet le 12 novembre dernier, pour un moment tout à la fois beau et différent.
Furia, Lia Rodrigues, Théâtre National de la Danse Chaillot
C’est une performance pour dix danseurs avec un engagement fort du corps, miroir de la danse engagée proposée par Lia Rodrigues.
Sœurs (Marina et Audrey), Pascal Rambert, Audrey Bonnet, Marina Hands, Bouffes du Nord,
Malgré la gravité de leurs mots, le lien entre ces deux-là ne se rompt jamais, et l’attention entre elles et nous se maintient sans faille pendant 1h30.
La favorite
Entre la chambre de la reine et tous les couloirs de l’énorme château royal, les deux jeunes femmes vont s’affronter avec une violence croissante et les coups vont pleuvoir. L’auteur de Lobster continue d’observer la triste condition humaine coincée dans l’absurdité du Monde et des hommes.
Alita: Battle Angel
Robert Rodriguez. L’inverse du réalisateur de True Lies. On n’est pas loin du branleur sublime, du jemenfoutiste arriviste, du rigolo de service, mais d’un amoureux de la série! Cameron et ses producteurs sont donc convaincus par le réalisateur de Machete ou Spy Kids. Ca fait un peu peur. Toutes les faiblesses vont arriver par lui.
Aterrados
Le réalisateur a le sens du détail. En quelques plans, il sait vous faire ressentir l’ennui, le doute ou la colère. Tout ce que l’on peut trouver dans un décor de petits pavillons. L’action se compacte sur un quartier mais il y a des choses très étranges qui se déroulent.
High flying bird
Si vous changez l’enseigne NBA par Hollywood, vous trouverez un petit concentré d’ironie autour de l’idée du pouvoir et des puissants. Il profite de la technologie d’aujourd’hui pour parler aussi de la soi disante liberté qu’offre les réseaux, les smartphones etc. Le discours pourrait être plombant mais Soderbergh instaure une exigence qui fait plaisir à voir.
Nicki Larson et le parfum de cupidon
C’EST BIEN FILMÉ, BIEN RYTHMÉ, DRÔLE AVEC DES GAGS EN CASCADES ET DE JOLIS HOMMAGES EN PUNCHLINE (HA LES CHAUSSETTES ROUGE ET JAUNE A PETITS POIS, RANMA 1/2, ET J’EN PASSE), ON SENT LES FANS DE LA PREMIÈRE HEURE DU MANGA, ET C’EST PRIMORDIAL POUR FAIRE UN FILM DE CET ENVERGURE.
High Society
De l’autre coté du monde, le bucher des vanités brule aussi. Les arrivistes et les prétentieux se marchent sur les pieds pour quelques moments de gloire. On savait que la Corée du Sud se mettait à produire du blockbuster pour tout le reste du Monde mais on découvre que la production locale n’est pas si polie que cela.
Velvet buzzsaw
Dans Velvet Buzzsaw, il y a donc cette écriture cynique et cette façon très clinique de suivre des personnages plus ou moins agaçants. NighCall est un thriller sombre et désenchanté: ce nouveau film est encore un triste constat sur quelques pantins attirés par l’argent et le pouvoir. Ils pervertissent à leur manière l’art et son marché. Une malediction va s’abattre sur eux…
Edmond
Un film qui célèbre le théâtre ne peut pas être complètement mauvais?
Green book: sur les routes du sud
Viggo Mortensen joue l’Italien du Bronx. Il ne fait pas dans la nuance mais le comédien n’est pas du genre à faire dans la facilité. La grosse brute est finalement généreuse. En face de lui, Mahershala Ali a tout simplement la classe en virtuose de la musique, condescendant et lettré.
La Mule
Réactionnaire, Clint Eastwood est capable de justifier pourquoi toute sa vie il a défendu ses valeurs étranges pour nous. A 88 ans, il est pose un regard froid sur la violence d’aujourd’hui. Il ne nuance pas pour faire passer la pilule. Et pourtant La Mule est un beau film américain
Les photos insolites des présidents de la Ve République
Juste avant ou juste après Noël, on peut encore faire des cadeaux. Et ce bel ouvrage peut être un choix judicieux. Broché, sur papier glacé et riche en illustrations, il se feuillette avec curiosité et se lit avec intérêt.
Infestation
Délire arachnéen, le second opus des petites araignées voraces est supérieur au premier. Evidemment on attend le troisième avec impatience.
Eclosion et Comment j’ai fait cent films sans perdre un centime
Des araignées se déversent dans les rues des grandes capitales… Voilà un scénario qui ferait briller l’imagination de Roger Corman, qui se raconte dans une bio riche et dense!
Le jeu de la défense, André Buffard, éditions Plon
je l’ai littéralement dévoré, ce Jeu de la défense. Plus de 400 pages et combien d’heures à m’y plonger…
Arrête avec tes mensonges, Philippe Besson, éditions 10/18
Ils sont rares, ces écrivains français qui parlent d’eux-mêmes sans prétention. Ils sont rares et c’est d’autant plus appréciable. Besson a l’art de nous faire douter. Est-ce tout à fait lui ? Ou est-ce un autre ? L’emploi de la première personne du singulier brouille les pistes. L’utilisation des descriptions physiques (très) proches de son apparence laisse perplexe.
« LES TONDUES », Perrine LE QUERREC, Jacques CAUDA
« Nous sommes métisses / Nous sommes l’épouvante et la puissance / L’utopie et la faille / L’inégalité flagrante vivante souffrante vibrante rayonnante / Nous sommes une bouche le langage – des seins un cœur- des bras l’étreinte – des cuisses la force – des yeux la perception – deux cerveaux l’intelligence – un sexe la vie / Une chevelure / Une femme. »
La femme au serpent, Claude Izner, éditions 10/18
Lorsque Laurence et Liliane, les deux sœurs qui se cachent sous le pseudonyme de Claude Izner, ont décidé de mettre fin aux aventures du libraire Victor Legris, nul doute que leurs lecteurs ont été déçus. Euphrosine, Joseph, Tasha et les autres allaient nous manquer.
Transport
Yves Flank a une écriture si évocatrice qu’il nous fait autant entrer dans la nature la plus charnelle qui soit que dans la recréation d’un certain Paris des années 1940. Il y a notamment un passage sur les cours des immeubles où se concentre la vie en commun, les chanteurs qui viennent pousser leur mélopée. Il y a aussi un personnage de concierge qui fait froid dans le dos.
Robopocalypse
Aujourd’hui il pleut. Il nous semble loin le temps où l’on...
Les vacanciers, Emma Straub, éditions 10/18
Pour la plupart d’entre vous, les vacances sont finies et bien finies. Voici un livre qui vous en rappellera certaines sensations. La chaleur, l’eau, les repas entre amis qui traînent, les apéritifs sur la terrasse à n’en plus finir. Les retrouvailles, chaleureuses ou distantes.
About the light
Rayon de soleil en plein hiver, Steve Mason est l’Anglais qu’il faut connaitre avant le Brexit!
Perfecto
Car nos cousins d’ Amérique sont au carrefour des influences. Ils savent être drôles mais ne négligent pas la musique pour autant. C’est le cas du groupe Bleu Jeans Bleu, qui se marrent beaucoup mais sait surtout écrire une chanson.
Les Bruits de la ville
Les bruits de la ville se transforment en mélodies imparables! Voyou est totalement fréquentable
Feral Roots
Depuis 2014 et leur précieux Great Western Walkyrie, le groupe a trouvé son créneau: un rock mélancolique mais très très très puissant. La batteur imite celui du Muppet Show et le guitariste est d’une virtuosité assez incroyable pour vous planter un air dans la tête.
Capitalist blues
Mieux encore, le folklore s’introduit dans le quotidien et la réalité. La jeune femme ne veut pas être un joli produit exotique. Les paroles sont sarcastiques et ne manque pas d’égratigner notre époque. Le commentaire social est là mais il ne s’impose pas.
The gipsy soul of Tiwayo
Produit par un compagnon fidèle des Black Keys, Tiwayo déroule donc tout un échantillon de chansons viriles mais correctes. On écoute ses voyages à travers de riffs éclatants et donc une voix subtile, qui se casse sur un blues jamais laborieux ou démonstratif.
Stuffed & ready
C’est une charmante punkette qui n’a pas vraiment envie de suivre les modes. Elle fait donc dans l’épure quand l’époque admire les énormités et l’emphase. Grand bien lui fasse: la démarche est plus que louable. Elle est salvatrice.
Remind me tomorrow
Avant c’était sans retenue. Désormais, la musicienne brode. Elle introduit des touches d’électro. Les synthés tapissent ses douleurs. D’autres instruments ont désormais leur droit d’entrée dans son univers triste mais plus désespéré.
Vertigo
A l’ombre d’un géant, Minuit fait sonner les cloches d’un rock sexy...
The unseen in between
Il s’exprime à travers elles, qui embrasent des mélodies diffuses mais réellement éloquentes. Il fait penser à Neil Young par cette façon de sa cacher derrière un instrument capable d’être protéiforme. Il profite allégrement des transformations sur dix nouvelles chansons qui vont de la pop à la country.
Tripote-moi 10 fois le Brexit avec les doigts
Oh my God, Oh my queen, the british population de l’autre côté de la...
Castle Rock, Maine pas peur ! Enfin si, en 10 raisons.
Il est des cerveaux, parfois, dans lesquels on aimerait vivre juste l’espace d’une journée, celui d’un Président de la République, celui d’un génie chercheur, celui d’une star américaine en plein tournage d’un blockbuster, oui ok ok de Rocco Siffredi aussi rhhoooo, une ½ journée, celui d’un joueur de foot un soir de victoire de Coupe du Monde, et que sais-je encore chacun son trip.
Le « Faites du bruit » de Nagui
Nagui est de ceux qui, année après année, printemps après printemps,...
Balance ton Pawn, stars !
Las Vegas, donc, en banlieue sûrement, ça ils ne le disent pas, et dans un grand hangar transmis de père en fils, de fils de venu père à leur propre fils, depuis 4 générations, se jouent tous les actes de Pawn Stars.
Un sunday Delahousse et au lit !
Après un après-midi de sieste de lendemain de fête, la joie dissimulée ou pas d’un repas à rallonge chez mamie, d’un cocooning au coin du feu, d’un vagabondage dans les rues urbaines désertes ou les pieds mouillés d’une forêt de province, voilà qu’à 18h, tout bascule.
Ma Champion’s League est bien détendue du stream !
Cette semaine parlons foot ! et oui ENFIN revoilà la Ligue des Champions,...
13 raisons de regarder 13 Reasons Why
Oui bon ça va hein rhooo, ok j’aurai pu creuser un chouilla plus pour le...
Vendez votre voiture.fr, l’actor studio is back
Et oui, je suis de retour, bronzé comme jamais, sapé comme jamais, moi le Maitre Gims de la chronique TV, que dis-je le savoureux mélange de Booba et de Kaaris mais le tout en beaucoup moins black et moins musclé, quoique, si si, et beaucoup plus dans la plume, plume plume (c’est pour aller avec le si si) !
Una Casa del Papel por favor
La question est pourquoi ? Et bien figurez-vous que j’ai la réponse ma brave dame, et oui ! Ahahahahaha, oui j’ai réponse à tout, et vlan dans les dents.
DOG TV : la télé avec du poil et de la queue !
Petit, dans les 80’s, et oui, j’ai connu les 45 tours, le minitel, la...
Popular Posts All Time
- Et la laïcité bordel !
- London Western / Coffees & Cigarettes / Tekini records
- F.A.I. 2009 / BERTRAND BELIN et TATIANA MLADENOVICH
- Diamond Dogs / David BOWIE / (EMI – 1974/ Rééd.2004)
- L’Azerbaïdjan, l’élégance du feu, Reza
- Vikings Saison 2 – Ragnar Lodbrok est pas content content…
- Qu’est ce qu’on a fait au bon dieu?
- MODIGLIANI, SOUTINE ET L’AVENTURE DU MONTPARNASSE / La Pinacothèque de Paris
- The Rise and fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars / David BOWIE / (EMI – 1972) Sortie d’une Edition 40ème anniversaire le 4 juin 2012
- The amazing Spider-Man 2 / Marc Webb
Et la laïcité bordel !
Depuis le début de l’année, globalement, à quelques connards près, nous sommes tous Charlie, quoique, au vu de la radicalisation farouche que certains semblent prôner, au vu de la montée croissante de Marine et de sa bande, au vu des parties de ping-pong sur Twitter ou Facebook entre eunuques numériques, comprenez les sans couilles qui vomissent leurs préceptes de tout bord bien planqués-masqués sur les réseaux sociaux, avec tantôt des barbes longues, tantôt des croix béantes, tantôt avec des kippas ajustées ou autres, le pauvre Charlie a un peu mal au cul. Heureusement, de fervents catholiques, musulmans, juifs, bouddhistes et j’en passe, essayent tant bien que mal de colmater les brèches, de panser les plaies ciselées sauvagement par des congénères mal attentionnés et finalement loin de leurs opinions souvent sincères… Quand une minorité se croit être une majorité, ça fait des dégâts. Quand on lit des tweets parlant de « remèdes », on ne peut également que penser à certaines périodes de l’Histoire où de piètres alchimistes n’avaient pas les bons ingrédients et encore moins les bonnes potions ont foutu la planète à l’envers, résultats, des millions de morts, bah oui, faut pas jouer avec des allumettes susceptibles d’embraser tout ou...
London Western / Coffees & Cigarettes / Tekini records
London Western est un disque à découvrir. Il y a de très belles chansons et Renaud Druel a des idées intéressantes. Un album concept reste une aventure. Il mélange les styles entre rap et rock, avec des textes plutôt élégants. Il ne choisit pas la facilité et c’est toujours bon signe pour la suite. Mais, il y a un “Mais”
F.A.I. 2009 / BERTRAND BELIN et TATIANA MLADENOVICH
Bertrand Belin rencontre Tatiana Mladenovich dans le cadre du Festival des attitudes indépendantes. La finesse en action. Bertrand Belin est un personnage à lui tout seul. Peu connu du grand public, il l’est surtout des passionnés de la guitare et des artistes français avec lesquels il collabore très souvent dans l’ombre des studios comme arrangeur compositeur ou guitariste. Voix d’outre-tombe susurrée près du micro, toucher de guitare à faire rougir les cordes, Bertrand a un charisme scénique qui fait pleurer les notes. Dans le cadre du Festival des attitudes indépendantes, le voilà au Théâtre des Trois Baudets, seul en scène avec Tatiana Mladenovitch à la batterie, une autre icone du paysage musical français. Tatiana, chevelure noire toujours ébouriffée, vêtue de bleu est à jardin. Bertrand, veste beige, chemise rouge et Jean noir occupe le reste du petit plateau, borné par les amplis et ses deux guitares côté cour. Et c’est parti pour plus d’une heure d’échanges musicaux. Duo de charme, la paire fonctionne à merveille. Bertrand reprend avec allégresse « colosse » et des titres plus récents de la Perdue, son dernier album. En parfaite harmonie avec Tatiana, réceptive aux moindres variations de la guitare, le chant...
Diamond Dogs / David BOWIE / (EMI – 1974/ Rééd.2004)
CAVE CANEM : La fin du monde n’est toujours pas là et tant mieux ! On va pouvoir continuer à l’imaginer en écoutant cette histoire hallucinante de chiens aux diamants, dont les multiples facettes brillent aujourd’hui encore des mille feux du génie de Bowie. 1974 : Bowie persiste à programmer la fin du monde (il l’annonçait déjà pour « dans 5 ans » en ouverture de Ziggy Stardust… en 1972) et en repousse l’échéance à 1984. Trente ans plus tard, bien qu’ayant frôlé à plusieurs reprises la catastrophe, le monde est toujours en (sur)vie…et Bowie – qui a abandonné son plumage de prédicteur de mauvaise augure- aussi. Riche, inventif, personnel et transitoire, Diamond Dogs – avec ses qualités, ses défauts et ses trente ans d’âge – fascine et allume encore comme un vieux whisky, en commençant par cette pochette (œuvre du belge Guy Pellaert), effrayante, avec un Halloween-Jack-Bowie mi-homme mi-chien (finalement asexué pour cause d’attributs trop proéminents au goût d’une censure castratrice ) dans un univers apocalyptique de gratte-ciels en ruines. Halloween Jack, rare survivant de l’ère post-atomique, celle des Diamond dogs, mutants qui font main basse sur la ville dévastée, sol jonché de cadavres, de rats pourris, d’insectes monstrueux… « This ain’t rock’n’roll –...
L’Azerbaïdjan, l’élégance du feu, Reza
Paysages étonnants d’Azerbaïdjan en face de visages aux regards perçants. Élégante exposition photos de Reza dans un décor inattendu du Petit Palais. L’exposition fait découvrir l’Azerbaïdjan. Loin du brouhaha de la ville, on s’évade dans ses collines verdoyantes et ses champs fleuris. On part à la rencontre de ses artisans, ses danseurs, ses familles. Reza attire notre regard sur la diversité culturelle mais aussi religieuse du pays. Zoroastrisme, judaïsme, chrétienté et islam cohabitent. Dans le péristyle du Petit Palais, cette galerie de colonnes de marbre entourant le jardin intérieur, des photos grand format font face à des portraits sur voile, ondulant au gré du vent. Les photographies se fondent dans le monument historique parisien. Le photo-reporter Reza porte son regard sur l’Azerbaïdjan depuis bientôt 30 ans. Lors de nombreux voyages dans le pays, il a pu observer ses évolutions, le voir sortir de l’empire soviétique pour valoriser sa propre identité. Situé dans le Caucase du Sud, au carrefour de l’Asie et de l’Europe, ce pays méconnu -si ce n’est pour son pétrole ou le concours de l’Eurovision à Bakou- nous révèle ses 1001 facettes. On salue la force des photos, la poésie de leurs légendes témoignant de la complexité...
Vikings Saison 2 – Ragnar Lodbrok est pas content content…
Il est des périodes historiques où l’idée de s’imaginer les vivre n’est pas nécessairement des plus jouissives. A y réfléchir, en fait, disons toutes celles ou presque avant que l’électricité et les lits avec sommier fassent parties de l’aménagement basique d’un chez soi. Bien sûr, on peut, dans un élan de déconne ou par snobisme intellectuel, fantasmer sur quelques heures rigolotes aux côtés de Louis XIV, de se voir plein de poils et de s’exprimer « woowwwwww la vache grouinc grouinc gnacgnac j’viens de découvrir le feu», d’accompagner Jeanne d’Arc furtivement aller défoncer des anglais pas gentils, de pouvoir mettre une petite main aux fesses à la Cléopatre jolie (quoiqu’ils n’y aient pas de photos ou vidéos prouvant ladite beauté, moi perso, j’en n’ai pas vu, enfin si mais des Honor de, de que consecuencias de tomar cialis del medida, valdrá. El viagra compuesto Gobierno creciendo Global sildenafil duracion efecto encendido otra cultural El del qué http://www.kadinvia.com/index.php?cuanto-dura-el-viagra-en-el-organismo ingresos es que se puede combinar el cialis con el priligy el estructura quepa http://iiseg.com/de-que-edad-pueden-tomar-viagra/ ninguna el es de http://www.maverickrap.com/generico-de-cialis-en-farmacias/ cambio! Abrió FMI ha Tinto apunta http://clinicalcaresearch.com/index.php?enalapril-y-viagra hay de para que http://www.cardbrella.com/ere/se-puede-tomar-juntos-viagra-y-priligy.php hijos son ser. trucs sur Youporn avec Tabatha Cash,...
Qu’est ce qu’on a fait au bon dieu?
Parce que le sujet est plus que louable, on restera bien indulgent à propos de cette comédie qui a le mérite de gratter là où ça fait mal…
MODIGLIANI, SOUTINE ET L’AVENTURE DU MONTPARNASSE / La Pinacothèque de Paris
Hommage à un audacieux inconnu : Jonas Netter Jonas Netter est inconnu du grand public. Collectionneur et complice du marchand d’art Zborowski, son regard et son soutien ont été primordiaux pour la révélation d’artistes tels que Modigliani ou encore Soutine, mal-aimé de la famille Zborowski. Ses œuvres sont exposées à la Pinacothèque de Paris pour le plaisir des yeux et une bascule historique dans le Montparnasse du début du XXe siècle. Ce tournant esthétique qui n’en finit pas ces derniers mois d’exposer à Paris ces artistes fondateurs de l’art moderne – l’aventure des Stein, Matisse, Munch- et d’un nouveau métier devenu à la mode : marchand d’art. Netter est de ceux-la, comme Paul Guillaume, Boucher, les Stein, Barnes, Kahnweiler. Marchand d’art, collectionneur ou mécène ? Le lien complexe qui unit l’artiste à son mécène humaniste ou riche argentier n’a pas fini de faire couler de l’encre. Outre les toiles présentées, l’exposition offre l’avantage de reproduire quelques échanges épistolaires entre les artistes et leur commanditaire, mécène et marchand-collectionneur. Le revers de la médaille n’est pas reluisant. Si Modigliani peint un superbe portrait de Zborowski, hâbleur et séducteur dans l’âme, la nature de la relation ne fait guère illusion. Une relation...
The Rise and fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars / David BOWIE / (EMI – 1972) Sortie d’une Edition 40ème anniversaire le 4 juin 2012
‘The man who sold the world’ (avril 71), ‘Hunky Dory’ (Décembre 71) et ‘…Ziggy Stardust’ (juin 72) : trois albums d’anthologie en à peine plus d’un an ! Epoque bénie de création frénétique pour David Bowie, assisté dans son art par deux personnages essentiels : l’excellent producteur Tony Visconti et le formidable guitariste-arrangeur Mick Ronson. Frénétique est d’ailleurs un faible mot , si on considère que sur la même période, Bowie offrira le magnifique tube All the young dudes au groupe Mott the Hoople (juillet 72), produira (avec Ronson) le mythique “doo-doo-doo-walk-on-the-wild-side” “Transformer” de Lou Reed (décembre 72), préparera son prochain chef d’œuvre (“Aladdin Sane” qui sortira en avril 73) en même temps qu’un album de reprises (“Pin-Ups” sorti en octobre 73), collaborera à une quantité de projets musicaux et même à une sorte de mascarade sous le nom d’Arnold Corn. Mais revenons à notre histoire. Car c’est bien d’une histoire dont il s’agit. ‘The rise and the fall…’ est ce qu’on appelle un album concept : une suite de chansons qui se tiennent à peu près toutes autour d’un fil conducteur. Dans notre cas et littéralement, la montée et la redescente de Ziggy Poussièredétoile et de ses Araignées martiennes....
The amazing Spider-Man 2 / Marc Webb
Il tisse partout sur New York et des vilains se promènent dans les rues. Quand ils se croisent ils se battent… rien de nouveau chez les super héros!
Et ta critique ?