Neil Young est prolixe. Les albums se mutliplient. La création habite le vieux Canadien, malheureux dans l’Amérique de Trump. Un peu de retenue ferait peut être du bien à la qualité de ses nouvelles oeuvres.
Neil Young est prolixe. Les albums se mutliplient. La création habite le vieux Canadien, malheureux dans l’Amérique de Trump. Un peu de retenue ferait peut être du bien à la qualité de ses nouvelles oeuvres.