La lame et la Croix

Au-delà du travail graphique Casini sait aussi utiliser les couleurs. Celles-ci restent toujours tranchées et numérisées et pourtant elles demeurent en adéquation avec le propos. On pourra regretter des rouges un peu sombres (mais c’est vraiment pour trouver un défaut à l’album)…

Libre

Mieux encore, on entend un accordéon typiquement balkanique ce qui fait réellement remuer le popotin. Le groupe mixe tous les styles les plus tourbillonnants pour nous emmener dans une salsa sans frontière, où le rap et la world music font le boulot. L’état des lieux est désolant mais gardons le sourire puisqu’il y a envers et contre tout la musique.