Ce qui restera remarquable quoique outrancier, c’est la métamorphose monstrueuse du corps de Thomas Jolly-Richard. Ses postures étranges touchent juste à rendre visible la perversion toujours plus triomphante de son monde intérieur, prospérant à mesure que ses costumes deviennent de plus en plus chargés.
Let Love show the Way
Le son monte petit à petit. On identifie alors un riff de guitare ciselé qui met en place une rythmique bien classique où va pouvoir se lover une voix qui a visiblement mangé du caillou, bu du whisky et avalé pas mal de cigarettes. Bienvenue dans l’antre du bon vieux rock old school!