L’Orient c’est l’Orient

A partir de cette intrigue mince comme une mannequin prépubère anorexique, Boyle tire à la ligne de façon éhontée pour nous livrer un texte plein jusqu’à la gueule de… rien du tout. Des dizaines et des dizaines de pages qui détaillent par le menu (c’est le cas de le dire) les entrées, plats et desserts des repas, les robes et costumes de chacun, les aléas climatique observés heure par heure, ou les curiosités de la faune et de la flore des marais pestilentiels…