Néanmoins, il est pris de compassion par le personnage principal. Petite pointe d’originalité sur la lumière. Le film est très lumineux ce qui est plutôt rare pour un thriller. Rien à redire sur le jeu des acteurs. Pierre Niney nous confirme son talent et réalise une excellente interprétation. Quand à Ana Girardot, elle sublime le film tant par sa beauté que par son talent.
Stephan Eicher und die Automaten
Grâce à sa maitrise remarquable du langage de la musique et son amour de la scène, il évite deux écueils. Le premier : de faire de son concert solo un concept mégalo. Au contraire, il s’incline devant les instruments comme si les musiciens étaient derrière. Et le second : d’assurer une prouesse technique qui oublie l’émotion acoustique.
La loi du marcheur, Carreau du Temple
Janvier 1992. Quelques mois avant sa mort, Serge Daney s’entretient avec Régis Debray sur son itinéraire de critique de cinéma. …