Maalouf et Puccino revisitent donc à leur manière le célèbre conte, raconté si souvent. Il apporte toute l’ambiguïté du texte, entre rêverie et cauchemar. Les mots sont plus secs (la chenille devient une étrange dealer) mais révèlent l’inquiétude qui se cache derrière le texte de Caroll. Le résultat est baroque et bien barré.