Cinéma, INEDIT

Célibataires ou Presque

trois grands gamins profitent de la vie new-yorkaise. C’est mignon mais l’intérêt se limite à son jeune casting qui désormais pèse quelques millions de dollars désormais.

Zak Efron a des tablettes de chocolat. C’est l’idole des jeunes et bien entendu, il tente de casser son image mais pas trop en acceptant des rôles un peu sérieux. Mais il doit continuer à plaire. Il est donc séduisant dans Célibataires ou Presque mais il est surtout un peu crétin et immature comme tout bon jeune américain dynamique qui travaille à Manhattan.

Il fréquente plein de filles et brille dans un métier plein d’avenir et de créativité. Il a un beau sourire et de chouettes copains. Il y a Miles Teller, révélé depuis par l’excellent Whiplash et le massif Michael B.Jordan, coaché récemment par Stallone dans Creed. Ces deux là se retrouveront un peu plus tard sur le plateau des 4 Fantastiques, pas du tout fantastique!

En tout cas, il y a des liens entre ses trois comédiens qui depuis ce film deviennent de plus en plus bankables. Avec leurs vannes à trois balles et leur virilité aveuglante, ils sont presque touchants. Le film se veut un état des lieux de l’amitié masculine dans la plus belle ville du Monde, New York. Le film est un admirable dépliant pour la ville de Woody Allen avec ses boites, ses bars et ses lieux bucoliques.

Les trois potes se sont promis à un avenir de « célibattants » mais ils ont en fait un petit coeur tout chaud et les filles qui se trouvent sur leur route sont plutôt craquantes. La morale sera sauve: l’Amour est au rendez vous pour ces zouaves sympathiques et un peu cons.

Rien de neuf donc pour ces nouveaux héros de l’amitié yankee. Rien de gênant non plus!

Avec Imogen Poots, Zak Efron, Miles Teller et Michael B.Jordan – 1h34

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