En choisissant la forme épistolaire, il évite toutefois l’écueil du pensum bouffi de nostalgie larmoyante. Sans rien renier, ni rien céder au pathos, il reconstitue une histoire en pointillé qui n’a sans doute pas été la plus intense de son existence, mais qui l’a bouleversé profondément.
Luce: Polka
Birdman
On s’amuse donc avec les clins d’œil à Hollywood et Broadway. Le « name-dropping » fonctionne à plein régime. Michael Keaton, ancien Batman, se lâche dans ce personnage qui lui ressemble beaucoup.