La danse des Obèses

Ici, on l’aura compris, le policier se mêle de romance fleur bleue. Quant au serial killer, c’est juste un truc à la mode qui permet de se dire que l’on écrit « des horreurs ». Apparemment, c’est réussi puisque le mari de l’écrivain a trouvé que le livre était « yerk » (cf. remerciements en fin d’ouvrage).