Pas assez frais pour m’insuffler les meilleures mauvaises nouvelles du jour sur les chaines infos, je l’avoue, oui, il m’arrive d’attiser ma curiosité théologique, moi, l’athée, moi, l’agnostique, sorte de pénitence pour avoir bu trop de rhum la veille.
Rostam et Esfandiâr
le spectateur ne se reconnait ni dans Rostam ni dans Esfandiar, ni dans la violence de leurs combats ni dans leurs tentatives de conciliation. Le silence qui règne dans la salle pendant le spectacle est autant dû à l’absence d’interactivité qu’à ce peu d’engouement et d’empathie.
Perdues dans Stocklhom
Pas de syndrome de Stockholm en ce qui me concerne
Tsunami
Si le dessin de Pendanx est magnifique, laissant transparaître la violence du drame dont les cicatrices demeurent présente 10 ans après, les pistes explorées par les auteurs sont nombreuses mais aucune d’entre elle n’est vraiment aboutie.